A new tango songbook - Plaza Francia

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La rencontre de deux mondes délicieusement envoûtant et mystérieux, le tango electro rencontre le charisme fascinant de la chanteuse des Rita.
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Plaza Francia, c'est la rencontre de Catherine Ringer, chanteuse emblématique des Rita Mitsouko et Christophe H. Muller et Eduardo Makaroff, de Gotan Project. La rencontre de deux mondes délicieusement envoûtant et mystérieux, le tango electro rencontre le charisme fascinant de la chanteuse des Rita. Et ça fonctionne bien sûr, le résultat est électrisant. Les styles se marient si bien que leur union au fil des chansons devient une évidence. Catherine Ringer a laissé la folie survoltée des Rita pour une folie plus douce et hypnotique, et on se laisse porter et emporter dans la danse virevoltante de Plaza Francia. Le groupe sera au Cabaret Botanique dans le Jardin du Thabor, dans le cadre du Festival Mythos, le 16 avril prochain. La soirée s'annonce torride.

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Ivory - The 1969 Club

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The 1969 Club montrent qu'ils savent peaufiner leurs enregistrements et qu'il va falloir compter sur eux pour dynamiter la scène rock française.
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Un peu plus d'un an après leur premier EP "The red album", les briochins-rennais de The 1969 Club dégainent "Ivory", un EP de 5 titres financé en partie par crowfunding qui confirme leur incroyable énergie. C'est un rock garage sans concession, riffs secs et basse lourde, porté par la voix fougueuse de la chanteuse et bassiste charismatique Hermann. Un rock explosif, qui cogne, mais dont la subtilité étonne et détonne. Impressionnants sur scène (et d'ailleurs le avril prochain a l'ubu), The 1969 Club montrent qu'ils savent aussi peaufiner leurs enregistrements et qu'il va falloir définitivement compter sur eux pour dynamiter la scène rock française. 

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Mon premier album avec d'autres instruments que juste la guitare - GiedRé

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On aime beaucoup ou pas du tout. Ou alors on aime beaucoup puis plus du tout.
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"Les filles qui se laissent peloter pour une mammographie, c'est trop des putes", chante GiedRé sur un air de comptine enfantine. Auteure, compositeure, interprète et humoriste d'origine lituanienne, la chanteuse a étudié l'art dramatique, commis des premières parties de Raphaël Mezrahi, de Laurent Baffie ou d'Oldelaf, et en est déjà à son cinquième album de chansons impertinentes, ultra dosées en humour noir, en humour pipi-caca, en absurdités, en cynisme. On aime beaucoup ou pas du tout. Ou alors on aime beaucoup puis plus du tout, le contraste petits airs gentillets/saillies subversives et gros mots peut lasser, lorsqu'il est porté au-delà de quelques buzz sur le net. Il n'empêche que GiedRé appuie là où ça fait mal, en allant jusqu'au bout et en souriant, et rien que pour ça, on a vraiment envie de voir ce que ça donne en concert (à l'Ubu le 26 février).

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2.0 - Alternine

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Music for (most of) human, indique le site internet d’Alternine... Music (ter­ribly) human.
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Avec 2.0, les rennais d’Alternine revisitent les fon­damentaux du punk. Il y a dans leur son rageur et sans concession quelque chose comme une mise en abyme du rock métal et indé des années 90. Un son épuré, cathartique, une fureur non fil­trée. La voix d’abord chaude et enveloppante de la chanteuse Laetitia Jéhanno est un mirage  : elle vient se briser contre les martellements de Jean-Félix Hautbois à la batterie, et les mélodies froides et perçantes de la basse de Julien Névo et des guitares de Benoît Toquet et Maxime Pou­teau. Chaque son est une nécessité et 2.0 est une musique de l’instant, du primordial, du viscéral qui saisit les entrailles. Music for (most of) human, indique le site internet d’Alternine... Music (ter­ribly) human.

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Closer - Chic Gamine

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La Chic Gamine joue avec malice avec les rythmes et les sons.
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L'heure est au rétro chic et on aime découvrir des nouveaux groupes talentueux qui viennent joyeusement et élégamment mettre du désordre dans les styles et les époques. C'est le cas de Chic Gamine, 4 chanteuses et un batteur... et c'est tout. Les chanteuses se relaient entre voix principale et chœurs, leurs voix se substituent délicieusement aux instruments pour créer un univers 60's où soul et rythm'n'blues sont chamboulés par des sonorités plus hip hop, plus indé. La Chic Gamine joue avec malice avec les rythmes et les sons et même les plus réticents au genre "quatuor vocal" se laisseront apprivoiser par le talent et la modernité du groupe. A ne pas manquer aux Trans (jeudi 5, à 21h, Hall 4 au Parc Expo) qui les décrit déjà comme chouchou de choix pour succéder à Feist et Arcade Fire.

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Exhale - My sleeping doll

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La jeune rennaise réussit avec sa guitare électrique et sa voix magnétique à nous happer dans une ambiance dark et intrigante.
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Après une démo de 3 titres l’année dernière, My Sleeping Doll a sorti au printemps dernier Exhale, un EP de 5 titres. Cinq ballades mélancoliques et un brin shoegaze (courant musical de rock alternatif) avec lesquelles la jeune rennaise réussit avec sa guitare électrique et sa voix magnétique à nous happer dans une ambiance dark et intrigante. Cinq ballades dans lesquelles on se laisse volontiers sombrer, comme dans un rêve doux bien qu’un peu angoissant. Si dernièrement la scène rennaise fait parler d’elle en surfant sur la mode de l’électro-pop ou de la pop frenchie, on revient ici au fondement d’un rock épuré et pénétrant et on attend avec impatience de découvrir la chanteuse sur scène (à l’Antipode, le 21 novembre, pour une soirée très féminine avec également Daughter et Broken Twin).

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Aventine - Agnès Obel

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Doux et un peu mélancolique, un peu inquiétant, on craint de s'ennuyer et on découvre un monde fantastique.
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Trois ans après son premier album Philarmonics, la danoise Agnes Obel revient avec le fascinant et envoûtant Aventine et c'est un peu comme un automne (en Bretagne) : doux et un peu mélancolique, un peu inquiétant, on croit qu'on va s'ennuyer et on découvre un monde fantastique où les gouttes de pluie (arpèges espiègles) jouent avec le vent (tempos languissants) et le temps (silences suspendus). Agnes Obel a composé, écrit, interprété, enregistré, réalisé et mixé l'album quasiment seule. Sa personnalité timide et secrète se dessine et se dévoile dans ce disque minimaliste et gracieux, simplement porté par le piano, le violoncelle et sa voix voluptueuse. « La musique doit humblement chercher à faire plaisir, l'extrême complication est le contraire de l'art » a dit Debussy, dont Agnes Obel est une grande admiratrice. Le plaisir ressenti en écoutant Aventine est simplement exquis.

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Archipel - Peau

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Le résultat est délectable, c’est l’électricité et le tourbillon d’une mise à nu, le voyage dans des archipels inexplorés et lumineux, à découvrir.
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Trois ans après l’excellent et prometteur Première Mue, Peau, alias Corinne Faillet, auteur compositeur et interprète grenobloise, sort nos sens de leur léthargie estivale avec Archipel. Une rencontre géniale entre poésie sonore et expérimentale et électro légère, tourbillonnante et aérienne. Peau s’amuse avec les mots et les sons, les chargent d’émotions et de sentiments contrastés. Sur dix morceaux d’une formidable diversité, les rythmes parfois saccadés et virevoltants, parfois doux et entêtants des arrangements de Dan Bartoletti, accueillent la voix mystérieuse et sensible de Corinne Faillet. Le résultat est délectable, c’est l’électricité et le tourbillon d’une mise à nu, le voyage dans des archipels inexplorés et lumineux, à découvrir.

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Juveniles - Juveniles

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Un savant mélange d’electro pop frenchy, new wave et rock british des eighties qui promet des nuits blanches et dansantes.
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Ce n’est pas (que) par chauvinisme qu’on se délecte du premier album éponyme des rennais, mais parce qu’il réussit là où la météo échoue lamenta­blement depuis des mois : en appor­tant cette sensation de chaleur, de dou­ceur et d’insouciance qu’on n’attendait même plus. Formé en 2011, le groupe a vite séduit, s’est un peu rapidement fait estampillé pop-new wave-froide-et-synthétique, et s’est vu offrir deux EP chez Kitsuné. C’est dire si leur pre­mier album était attendu. Résultat : un savant mélange d’electro pop frenchy, new wave et rock british des eighties (bizarrement, on ne peut s’empêcher de penser aux Smiths), une synth pop branchée, funky et élégante qui promet des nuits blanches et dansantes et des vacances gentiment décadentes (cf. le clip sexy et ultra hypster de Fantasy).

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Pushin'Against a stone - Valerie June

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Profondeur, force lancinante et pureté, Valerie June est une nouvelle déesse de la mythologie folk-blues américaine.
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Pushin’ Against a Stone, premier album de Valerie June (produit par Dan Auerbach, des Black Keys, soit dit en passant) est la bande originale idéale d’un road trip imaginaire, hypnotique et intemporel dans le Sud-Est des Etats-Unis. Folk, blues, soul et country s’y  retrouvent et s’y entremêlent, avec magie et harmonie. Fermez les yeux, et la voix étonnante, sauvage et naïve de Valerie June vous entrainera d’un club crasseux de Beale Street - Memphis, Tennessee - à une route de terre au milieu de l’Alabama, jusqu’au pied d’une église en bois, perdue au fond d’un champ de coton du Mississipi. Profondeur, force lancinante et pureté, Valerie June est une nouvelle déesse de la mythologie folk-blues américaine.

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