Agnès Jaoui est solaire et virevoltante. Même si l’on n’échappe pas à quelques clichés et stéréotypes le film reste plutôt enthousiasmant.

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Agnès Jaoui est solaire et virevoltante. Même si l’on n’échappe pas à quelques clichés et stéréotypes le film reste plutôt enthousiasmant.
Dans cette mini série, Peter Kosminsky s’appuie sur une de ses plus grandes qualités, une vraie réflexion libre et non convenue d'un problème historique et politique lourd.
Plusieurs films sont apparus sur le sujet du mariage forcé ces derniers temps mais les qualités de Noces, scénario, interprétation et image en font l’un des plus réussi.
Ultra sombre, ludique et fascinante, la série produite par Selena Gomez s’annonce comme une référence sur la thématique de l’adolescence.
Les portraits des femmes de la mini-série demeurent passionnants. Dans des décors et costumes somptueux, The White Princess réussit le pari de divertir tout en instruisant.
On apprécie sans risque et au premier degré la fantaisie galopante et stimulante du papa veuf et de ses deux adorables filles. L’humour et le ton fleur bon le vécu de jeunesse de l’auteure.
Moi, Daniel Blake est un film coup de poing, un cri dans l’abîme et une déchirure. Malgré un demi-siècle de films centrés sur la colère sociale, c'est peut-être là son film le plus énervé.
Malgré quelques longueurs, le film n’en demeure pas moins un drame haletant qui met en relief les caractéristiques profondes et douloureuses d’une héroïne ténébreuse.
Un joli focus sur des anonymes ou non parisien-ne-s qui n’a pas la prétention de représenter toute la diversité française et qui met bien le doigt sur les hasards du quotidien.
La galerie des personnages de province est d’une finesse Chabrolienne mais c’est Marina Foïs qui, sans demi mesure, incarne à merveille cette femme si aigre et glaciale.